1B-01. Organiser son espace de travail

 Conseils pratiques…

Sommaire

  • Présentation
  • 1. Quelques repères
    • L’éclairage
    • La distance et la hauteur de l’écran
    • S’asseoir correctement
    • L’alimentation électrique
    • Prévoir l’installation d’un réseau
  • 2. Installer son espace de travail avec un poste fixe
    • Placer l’unité centrale
    • Choisir son clavier et sa souris
    • Choisir son écran
    • Faire son installation électrique ; la méthode ; précautions
    • Choisir et installer son imprimante
  • 3. Installer la station d’accueil de son portable
  • 4. Associer un fixe et un nomade
  • 5. Installer les autres accessoires
  • En guise de conclusion.

Présentation

Je veux aborder dans ce chapitre les questions à se poser pour organiser ce qu’on peut appeler l’espace de travail bureautique. Au centre de cet espace, il y a un ordinateur (avec un écran, un clavier et une souris, au minimum) et un utilisateur de cet ordinateur. Les publicités nous montrent des familles autour d’un portable, assises dans le canapé du salon ou sur un tapis par terre : c’est idyllique !

Ce chapitre traite de l’espace de travail et de son aménagement. Les autres questions matérielles seront étudiées dans les chapitres suivants. Pour simplifier, je ne parle que de l’espace concernant un poste fixe. Mais certains conseils pourront être étendus facilement à l’utilisation d’un ordinateur portable. L’informatique et Internet envahissent de plus en plus notre univers. Je me préoccupe ici, principalement, des postes utilisés pour des séances de travail plus soutenues qu’une messagerie instantanée ou une consultation ponctuelle d’Internet.

Nous allons commencer par préciser quelques repères. Ensuite, nous passerons aux exercices concrets.

1. Quelques repères

L’éclairage

Comme pour un poste de télévision, vous devez composer avec les sources lumineuses de la pièce dans laquelle vous utilisez votre ordinateur. De jour, comme de nuit.

L’arrièrefond de l’écran, doit être neutre : pas de fenêtre ni de lumière directe. La nuit, le fond doit être idéalement éclairé avec une lumière tamisée ou indirecte.

Pas de source lumineuse derrière l’utilisateur, elle ferait des reflets gênants sur l’écran. D’une manière plus générale, ne pas orienter une source lumineuse directe vers l’écran. Pas de source lumineuse directe, non plus, venant du plafond sur l’écran : les poussières en suspension seraient visibles, gênant la vision fine (petits caractères).

Idéalement, la lumière doit venir latéralement, du côté opposé à la main qui écrit, de gauche pour les droitiers, et inversement pour les gauchers. C’est le plan de travail (et le clavier) qui doit être éclairé. Évitez la lumière directe du soleil.

Le réglage de la luminosité de l’écran est important. Il doit être satisfaisant de jour comme de nuit, car on ne le change pas en fonction de l’heure. D’où l’importance de soigner l’éclairage d’ambiance et du poste de travail. Je vous conseille de régler votre écran aux 3/4 de sa luminosité maximum. Sur les portables, vous pouvez paramétrer un réglage optimum quand l’ordinateur est sur secteur, mais moins lumineux, donc plus économique, quand il fonctionne sur piles.

Distance et hauteur de l’écran

Je préconise une distance entre les yeux de l’utilisateur et l’écran égale à environ deux fois la diagonale de l’écran. Concernant la hauteur, pour un bon confort des cervicales, je préconise que le plan horizontal passant par les yeux soit bordé par le haut de l’écran.

Ces considérations doivent vous permettre de bien choisir votre plan de travail et votre fauteuil.

S’asseoir correctement

Si vous ne voulez pas avoir mal au dos malgré vos nombreux kilomètres en voiture, il vous faut conduire avec un siège bien vertical. C’est la même chose avec un ordinateur. Vous choisirez donc une chaise ou un fauteuil avec un dossier vertical assez haut pour tenir les omoplates. Mais un repose-tête est inutile.

Devant un poste fixe, le siège idéal vous permet, tout en même temps :

  • d’être assis le dos vertical,
  • d’avoir les cuisses horizontales quand les deux pieds touchent le sol bien à plat,
  • d’avoir les cuisses bien supportées par l’assise du siège jusqu’à la pliure interne du genou,
  • et enfin d’avoir vos avant-bras horizontaux quand les mains sont sur le clavier ou la souris.

Comme on se déplace souvent devant un ordinateur (vérifiez, vous serez surpris), je préconise un siège sur roulettes. Et comme on attend souvent (ou on s’arrête pour réfléchir), je préconise un petit fauteuil avec des accoudoirs ; ce confort, à l’usage, n’est pas du tout superflu. Certains vont même jusqu’à penser qu’un siège pouvant basculer d’avant en arrière facilite la décontraction ; je suis bien d’accord.

J’ai évoqué la profondeur d’assise pour les cuisses. Il y a souvent un compromis à faire entre cette condition et la place disponible, car les sièges proposant une assise profonde sont encombrants (et un peu plus chers).

Si vous voulez respecter ce plan de charge, et si votre morphologie reste dans des moyennes standard, vous constaterez que votre poste de travail doit être légèrement plus bas qu’une table où vous prenez vos repas ou d’un bureau classique (conçu pour l’écriture). Pour cette raison, les dispositifs qui associent le clavier et la souris à une tablette coulissante sous le panneau d’un bureau sont astucieux. De plus, quand la tablette est repoussée sous le bureau, ils sont à l’abri de la poussière, ce qui n’est pas négligeable.

L’alimentation électrique

Votre équipement informatique doit être relié à un réseau stable avec prise de terre. Les alimentations équipant les ordinateurs fixes sont désormais bien conçues et ne nécessitent plus ces régulateurs qui étaient indispensables il y a encore quelques années pour parer aux micro-coupures du réseau. Mais ce risque existe encore, surtout en zones rurales. Un mini-onduleur peut alors apporter un remède incontournable.

Ce risque est différent du risque de foudre ou de coupure de secteur, qui sont aussi deux choses bien différentes. La foudre est imprévisible et elle passe partout. La seule parade est de débrancher toute l’installation (y compris les prises réseau). Certains quartiers en ville, certaines zones en campagne sont plus exposées. L’utilisateur avisé en tiendra compte.

Dans votre local, veillez à avoir une installation électrique en bon état. Vous devez disposer d’une terre correcte. L’idéal serait de faire faire cette vérification par un professionnel, à l’occasion. Un disjoncteur différentiel général doit être assez sensible pour éviter les surtensions accidentelles. Les nouvelles normes l’imposent. Si votre informatique est stratégique, renseignez-vous auprès d’un électricien. Ces négligences peuvent être graves de conséquences. Il est simple de les prévenir.

Je préconise de mettre l’ensemble des équipements sur la même prise électrique. En cas de d’orage, il suffit de la  débrancher, et tout est à l’abri. Sur cette prise de courant unique, je branche une prise multiple équipée d’un pare-foudre. C’est une protection qui est efficace contre les surtensions ; le matériel informatique est si sensible qu’il mérite bien ce petit confort.

Vous éviterez de laisser traîner par terre ces prises multiples et les câbles qui y sont branchés. Ce paquet de spaghettis n’est pas esthétique, attirant et retenant la poussière. Je préconise d’utiliser des petits paniers métalliques qu’on trouve au rayon rangement de toutes les grandes surfaces de bricolage. Deux œillets permettent  de passer des vis pour les fixer sur un montant. C’est l’objet idéal pour ranger les chargeurs, les petits transformateurs et les fils en excès.

Prévoir l’installation d’un réseau

Ce point est détaillé au chapitre 1B-04. Concevoir, installer et gérer son réseau domestique.

2. Installer son espace de travail avec un poste fixe

En général, pour votre espace de travail, la pièce et parfois l’endroit dans la pièce, sont déterminés par la configuration des lieux. Il vous faudra composer avec la lumière et les meubles dont vous disposez, sauf à prévoir des investissements. S’ils sont possibles dans un proche avenir, attendez d’en disposer pour organiser votre espace de travail.

Placer l’unité centrale

L’unité centrale peut être placée par terre, sous le bureau, à condition de ne pas risquer les coups de pieds intempestifs. Veillez aussi à laisser un espace minimum de 10 cm entre une bouches d’aération de la coque et les parois verticales (mur ou montant du bureau). Il peut y en avoir des deux côtés. Sans quoi, votre ordinateur risque de chauffer, et certains composants (venant de certains pays peu regardant sur les normes) pourraient y laisser la peau !

On se donne souvent des contraintes pour cette mise en place, à cause de la longueur du câble reliant l’unité centrale à l’écran. Il existe des rallonges qui peuvent remédier à ce problème. Et sauf utilisation graphique intense, rajouter 1,5 m dans cette liaison n’entraîne aucun inconvénient.

Il faudra vous laisser un peu de champ à l’arrière pour que les câbles ne soient pas coudés contre une cloison. Sinon, les connexions pourraient en souffrir.

Si vraiment votre caisse est la cible trop fréquente de chocs externes, vous pouvez poser autour des tasseaux (de section de 20 X 2 cm, par exemple) : l’effet est dissuasif !

Choisir son clavier et sa souris

Je préconise, pour un équipement fixe, un clavier et une souris sans fil. Un dongle USB les relie à l’unité centrale. Pour la souris, prévoir d’utiliser des piles rechargeables. Pour l’écran, il est souvent possible de le recharger en le connectant à une prise USB ; c’est plus pratique que d’accéder aux piles.

Le clavier doit nécessairement avoir un repose-paumes : une large bande, sur toute la longueur, devant, côté utilisateur.

La souris asymétrique sera préférée à une souris standard. Pour les gauchers, elles sont rares en magasin, mais Internet permet de s’approvisionner sans problème.

Il ne faut pas hésiter à investir dans du matériel de qualité, sans nécessairement chercher le top qui est bien souvent excessif. Mais ces matériels sont particulièrement sollicités et ils s’usent vite. Comme les brosses à dents, il ne faut pas hésiter à les remplacer quand ils sont fatigués.

Choisir son écran

En bureautique, l’écran sera de taille moyenne, avec une définition moyenne aussi. Les fabricants sont confrontés à une demande basée sur une utilisation intensive des vidéos (jeux) ; les produits sont donc adaptés en conséquence. Les contraintes de la bureautique n’ont rien à voir avec ces exigences.

En renonçant à des modèles haut de gamme, vous ne perdrez pas beaucoup en confort, et vous gagnerez surtout de la place sur votre plan de travail (et votre porte-monnaie appréciera).

Des bouches d’aération sont généralement visibles sur le haut. Bien veiller à les laisser libres.

Faire son installation électrique

Il est important de faire l’inventaire des besoins en prises d’alimentation électrique, en distinguant bien les types de prises. Voyons cela en détail.

Pour un poste de travail fixe, il faut prévoir sur une prise multiple, une prise normale simple 2+T, pour chacun des éléments suivants :

  • l’unité centrale ;
  • l’écran ;
  • la lampe de bureau ;
  • l’imprimante (éventuellement).

Il faut aussi prévoir des prises avec petit transformateur qui ont la pénible caractéristique d’occuper deux ou trois places sur les prises multiples, sauf à les combiner avec des prises simples :

  • l’imprimante (éventuellement) ;
  • le téléphone fixe ;
  • la Box ;
  • des chargeurs divers (téléphone portable, rechargeur de piles, etc.).

Et enfin, si plusieurs prises multiples sont nécessaires, ne pas oublier que chaque prise multiple occupe une prise elle aussi à partir de la deuxième. Une seule prise multiple est préférable, mais deux sont plus faciles à ranger. Le cordon de la prise multiple pour la relier à une prise murale devra être de longueur suffisante à vérifier avant l’achat.

La méthode :

1. Commencer par faire l’inventaire des prises nécessaires, branchées en même temps par type de prise ; puis ajouter deux ou trois emplacements supplémentaires. Ils ne seront pas de trop.

2. Choisissez vos prises multiples pour faire loger tout ça ; en prévoyant un premier boîtier équipé d’un pare-foudre.

3. Multipliez par deux la longueur des prises multiples choisies : c’est la longueur nécessaire pour vos paniers métalliques de fils et de prises.

4. Installer vos paniers en dur ; câblez, et contemplez !

Quelques précautions

Ne jamais tendre des câbles d’alimentation (ni aucun câble de raccordement, du reste) ; s’il est par terre, vous risquez de l’arracher ; la tension joue sur les prises qui ne sont pas prévues pour supporter ces efforts. Les contacts, enfin, peuvent être aléatoires.

N’hésitez pas à enrouler et attacher les portions excédentaires d’un câble. Faites-le de préférence du côté de la prise d’alimentation. Utilisez ces petits rubans en plastique avec une âme métalliques qu’on trouve dans tous les matériels neufs d’électronique. Ils se tournent facilement et se défont tout aussi facilement. Mais n’attachez jamais ensemble de cette façon deux câbles : cela fait un petit transformateur et des pannes curieuses peuvent venir de là ! (Un de mes anciens clients, croyant bien faire, avait passé son WE à tresser les câbles d’alimentation et avec ceux de la connexion du terminal-écran pour tous les postes que nous avions installés ; le lundi matin, plus rien ne marchait…).

S’il y a un risque d’orage, ou en cas d’absence prolongée, il vous suffit, avec votre réseau de prises multiples, de débrancher la prise murale pour mettre votre installation hors circuit. N’oubliez pas non plus, car la foudre passe partout, de débrancher votre ordinateur de son réseau Ethernet.

Choisir et installer son imprimante

L’imprimante peut être à jet d’encre ou laser.

Les imprimantes à jet d’encre couleurs sont meilleur marché que les lasers. Leur encre imprimée se dilue à l’eau, ce qui peut être un inconvénient. Il leur faut en général plusieurs cartouches.

Les petites imprimantes laser coûtent aussi cher que leur cartouche toner. L’encre est cuite sur le papier, ce qui la rend difficilement baveuse. Il est probable, qu’en général, l’impression laser soit globalement plus économique. C’est une question de volume qu’on peut suivre facilement avec les compteurs des imprimantes qu’il faut trouver dès le début (en général, ils sont imprimés sur les pages de test de la configuration).

Il est souhaitable d’avoir l’imprimante à proximité du plan de travail pour récupérer les impressions sans avoir à se lever. Mais l’imprimante n’a pas à encombrer le bureau. Compromis parfois difficile à résoudre.

Pour une imprimante attachée à un ordinateur, la connexion USB sera incontournable. Il faut savoir qu’on peut utiliser un câble jusqu’à 10 m, ce qui permet par exemple d’installer l’imprimante derrière soi. On trouve ces câbles dans tous les magasins d’informatique (vérifiez bien les types de prises à chaque bout). La plupart des imprimantes ont aujourd’hui une liaison WIFI ; c’est intéressant, mais il faut accepter le WIFI chez soi.

Qui dit imprimante, dit papier et cartouches. Prévoyez à proximité de l’environnement de travail, un rangement pour les ramettes de papier et pour les cartouches (car il est fortement recommandé d’avoir un jeu complet de cartouches d’avance car la panne sèche est parfois brutale). Ce rangement sera à l’abri du soleil, éloigné de toute source lumineuse et de tout radiateur ou tuyaux de chauffage central : à l’ombre, au frais et au sec. Les cartouches (jet d’encre, surtout) ont une date de péremption ; si elles sont bien conservées, cette date n’est pas critique. En revanche, si vous stockez vos cartouches dans un endroit très frais, veillez à n’utiliser une nouvelle cartouche qu’à température ambiante (paquet ouvert pendant quelques heures avant l’emploi).

3. Installer la station d’accueil d’un portable

L’avantage de la station d’accueil pour un ordinateur portable est double :

  • par le procédé qui s’appelle ‘réplication des ports’, vous pouvez brancher sur la station tous les périphériques utilisés dans un environnement fixe. Il suffit d’enficher l’ordinateur portable dans sa station pour disposer immédiatement d’un environnement de travail comparable à celui d’un ordinateur fixe. Il est donc important de choisir, quand c’est possible, une station qui réplique un maximum de ports (dont au minimum l’écran, le clavier, la souris, le réseau et l’imprimante). Il existe aussi des réplicateurs de ports autonomes qui se connectent sur une prise USB.
  • si vous disposez d’un écran, d’un clavier et d’une souris attachés à la station, la station peut être installée sans souci d’accessibilité pour travailler. L’idéal est même d’avoir un portable qui fonctionne fermé pour tenir encore moins de place.

La station a un avantage au moment de son investissement : les périphériques fixes associés peuvent être acquis progressivement. Pour les budgets tendus, c’est très intéressant.

Tout ce que nous avons vu concernant un poste fixe s’applique alors à une station d’accueil.

4. Associer un fixe et un nomade

Cette configuration comprend un poste fixe avec l’utilisation nomade d’un portable qu’on veut synchroniser avec le fixe à l’occasion.

Cette configuration n’appelle pas de contraintes ou de précautions spécifiques. La liaison pour les synchronisations se fera de préférence par réseau câblé, ce qui nécessite deux prises Ethernet à proximité du poste de travail. Si votre local dispose d’autres prises Ethernet, le nomade peut y être connecté. Il suffit qu’à cet endroit, il puisse être ouvert pour être mis en route.

Pour le reste, nous sommes essentiellement en présence d’un environnement fixe. Le plan de travail, ou une étagère à proximité, doit seulement pouvoir accueillir le portable pendant les synchronisations.

5. Installer les autres accessoires

L’informatique est gourmande en accessoires. Préférez des accessoires autonomes, connectables par USB. Autonome signifie que l’alimentation électrique est assurée par le branchement USB ; le dispositif n’a donc pas besoin d’une alimentation électrique.

Je préconise de réserver dans l’environnement de travail, une place pour chaque chose, et en particulier pour chaque accessoire, qu’il soit utilisé en permanence (un scanner par exemple) ou ponctuellement (un disque de sauvegarde). Si cet accessoire dispose d’un câble USB spécifique, ce câble lui restera attaché. Le fait de pouvoir ranger un accessoire facilement parce qu’une place est prévue pour lui, diminuera sensiblement les risques de chutes ou de chocs ; sa durée de vie en sera prolongée.

Il est possible d’avoir une rallonge USB qui parte d’une prise arrière de l’unité centrale (elles sont généralement plus performantes que celles en face avant ; demandez confirmation à votre vendeur au moment de l’achat) et qui aboutisse sur le plan de travail : pour les périphériques acceptant une liaison USB d’une longueur non critique, ce sera plus pratique. Réservez les prises en face avant pour des câbles de connexion courts (disques durs externes) ou des connexions ponctuelles.

En guise de conclusion

Disposer d’une configuration adaptée à votre budget, avec les connexions et accessoires nécessaires, est la condition de base d’un travail sérieux. Ce chapitre a rappelé quelques point essentiels.

Le progrès technologique, la fragilité de certains matériels (les portables, surtout) posent la question du renouvellement. Il faut bien voir que les accessoires ont aussi leur cycle de vie (écran, claviers, souris, imprimantes) et que ces cycles sont différents pour chacun.

Retenez qu’une configuration est évolutive, au gré de l’évolution de chacun de ses éléments. Privilégiez toujours la simplicité de mise en œuvre et la solidité. Car il est important de pouvoir compter sur son matériel. L’expérience prouve, malheureusement, que les premiers prix sont rarement synonymes de fiabilité.