2A-05. Les listes*

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Sommaire

  • Présentation
  • 1. Les listes à puces
    • 1.1 Listes à puces et styles
    • 1.2 Associer un style type Listes à un style type Paragraphe
    • 1.3 Paramétrer un style de liste à puces
    • 1.4 Construire une liste à puces avec le style de type Listes
    • 1.5 Trois conseils
  • 2. Les listes numérotées
    • 2.1 Un peu de théorie
    • 2.2 Paramétrer un style pour des listes numérotées
    • 2.3 Construire une liste numérotée
    • 2.4 Interrompre et reprendre une liste numérotée
    • 2.5 Modifier l’ordre d’une liste numérotée
  • Prolongements
  • Conclusion.

 

Présentation

Les listes à puces et les listes numérotées présentent suffisamment de similitudes pour être étudiées ensemble. Leur caractéristique essentielle est de gérer une hiérarchie de niveaux. Les paramètres précisent quelle forme donner aux puces ou aux numéros, comment les positionner et comment positionner le texte à leur suite.

Par chacun des deux types de listes, je ferai un rapide exposé théorique pour situer la problématique de leur paramétrage et de leur utilisation, puis nous verrons comment paramétrer ces styles, et enfin, comment construire ces listes concrètement.

 

1. Les listes à puces

Exemple de liste à puces :

  • Une liste à puces est une suite de paragraphes, identifiés généralement par un retrait à droite, une puce étant posée avec un retrait moins important devant la première ligne du paragraphe.
    • Première subdivision (niveau 2)
  • Deuxième paragraphe (retour niveau 1)
  • Troisième (suite niveau 1).

 

1.1 Listes à puces et styles

1. Chaque ligne de la liste à puces est un paragraphe. Rappelez-vous ce que nous avons vu dans l’étude des styles et le format Paragraphe : un ensemble de lignes terminé par la caractère entré avec la touche [Entrée].

2. Les paragraphes composant la liste sont formatés, normalement, avec le style de type Paragraphe habituel du document (sauf recherche d’effets spéciaux). Ce qui signifie que, si le style de type Paragraphe fait suite à lui-même (comme c’est souvent le cas pour le style de base), il n’y a rien à faire pour choisir ce style de paragraphe.

3. Pourtant, ce style de type Paragraphe se présente différemment avec des puces en début de ligne. Car il est associé à un style de type Numération.

4. Un style de type Numération permet de gérer des niveaux hiérarchiques (une arborescence) ; il détermine, pour chaque niveau de la liste, un groupe numérotation (symbole de la puce ou type de numéro), et une présentation du niveau.

 

1.2 Associer un style type Listes à un style type Paragraphe

L’association d’un style type Listes à un style de type Paragraphe se déclare dans le paramétrage du style de type Paragraphe. J’appelle le style de type Paragraphe à associer : PPL (pour Paragraphe avec liste) ; j’appelle, par similitude, le style de type Numération associé : NNL. Celui-ci doit exister. Voici la méthode pour déclarer cette association :

>Ouvrir la fenêtre de gestion du style PPL de type Paragraphe ;
| Gérer | ;
Styles █ ;
Lié à : Liste ;
| Plan et numérotation |
Numérotation █ ;
Style de numérotation : NNL ; (NNL est présent dans la liste)
▼ ◄OK►.

En déclarant l’association de NNL avec PPL, il suffit de choisir le style PPL pour bénéficier des fonctionnalités de listes (à puces ou numérotées). C’est très pratique.

 

Petite précision qui a son importance pour la suite :

Le ‘Style par défaut’ de type Paragraphe, est associé aux styles de type Listes, ‘Numérotation 1’ et ‘Puce 1’ qui sont, eux aussi, des styles par défaut. Cette association n’est pas déclarée dans ‘Style par défaut’ de type Paragraphe, mais elle est bien réelle. Des raccourcis-clavier y sont même attachés : [F12] pour appeler les listes numérotées, et [Maj+ F12] pour appeler les listes à puces.

 

1.3 Paramétrer un style de liste à puces

> Afficher la liste des styles SSS de type TTT = Numérotation ;
SSS (exemple : Puce 1) ▼ Nouveau (pour créer un nouveau style)

La modification de ce style se ferait en choisissant le menu ‘Modifier…’.

Dans les onglets proposés, seuls quelques-uns sont vraiment nécessaires. L’ordre que je suis n’est pas celui proposé à la saisie. Il suit la composition du texte en commençant par la puce.

 

Trois onglets nous intéressent :

  • Gérer
  • Position
  • Options.

Les autres ne servent pas à grand-chose.

 

Onglet | Gérer |


| Gérer | ;
Style █ ;
Nom : xxx (pour donner un nom au nouveau style) ;
Catégorie : {Styles personnalisés ; … } ;

Cet onglet Gérer est à servir pour un nouveau style. En modification, sauf à vouloir changer le nom, il n’y a normalement rien à saisir.

 

Onglet | Position |


| Position | ;
Niveau █ :

Sélectionnez la ligne ‘1-10’, et enregistrez :


Numérotation suivie par : Tabulation ;
Alignement de la numérotation : à gauche ;

 

De la sorte, vous aurez ces réponses proposées par défaut pour tous les niveaux.

Ensuite, tout en restant sur le même onglet, sélectionnez la ligne ‘1’. Vous allez saisir toutes les zones du panneau █ Position et espacement █ ; puis toujours en restant sur le même onglet, vous passerez au niveau 2, et ainsi de suite pour tous les niveaux que vous pensez devoir utiliser.

 

Pour chaque niveau :


(un niveau a été sélectionné : son réglage se fait maintenant) ;
Position et espacement
Aligné à : NNN cm ;

Vous précisez ici la distance qui sépare la puce de la bordure gauche de la zone principale du texte. Je vous conseille de préparer cette réponse (et les suivantes) sur une feuille en prenant une colonne par niveau, pour mettre des distances progressives.

 


Alignement de la numérotation : { à gauche ; centrée ; à droite } ;

Par ‘numérotation’, il faut entendre ‘groupe de numérotation’. Ce groupe comprend la puce et dans les listes numérotées, tout ce qui est ajouté pour mettre le numéro en valeur, avant et après.

Pour comprendre la raison de ce réglage, il faut voir que le groupe de numérotation occupe une zone plus large que lui. Ce réglage précise comment il se cale dans cette zone : à gauche, à droite ou centré. Pour les puces, c’est normalement à gauche.

 


Numérotation suivie par : {Tabulation ; Espace ; Rien} ;
à : NNN cm ;

Par ‘Numérotation suivie par’, il faut entendre, ‘Puce suivie par’.

  • Tabulation permet de caler le texte du paragraphe à la suite de la puce sur un tabulateur. La zone suivante : ‘à :’ précise le positionnement du tabulateur.
  • Espace met à la suite de la puce une espace avant de commencer le paragraphe. Je déconseille ce paramétrage. Car si le texte est justifié et le paragraphe étendu sur plus d’une ligne, cette espace pourrait alors avoir une largeur variable, et l’alignement du paragraphe à gauche ne serait pas assuré.
  • Rien : le paragraphe sera collé à la puce.

Ces trois choix se retrouveront pour les numéros des listes numérotées. Pratiquement, pour les puces, c’est Tabulation qui s’impose.

 


Retrait à : NNN cm ;

Vous saisissez ici la distance entre le début de la deuxième ligne du paragraphe et la bordure gauche de la zone principale de texte. Pratiquement, ce sera la même que celle du tabulateur indiquée à ‘à :’ : vous aurez alors toutes les lignes de votre paragraphe alignées à gauche.

 

Quand vous avez réglés les positionnements des niveaux que vous souhaitez utilisés, il vous faut préciser quelles puces utiliser par niveau. Vous passez à l’onglet suivant :


| Options | ;
Niveau █ ;
Numérotation █ ;
Nombre : Puces ;
Style de caractère : Puces ; (vous pouvez choisir une image éventuellement) ;
Caractère : ◄…► * (Caractères spéciaux) ;

Je vous conseille de commencer par la ligne 1-10 pour saisir les réponses communes à tous les niveaux. Ensuite, vous saisirez chaque niveau en commençant par le premier. Les puces choisies sont indiquées dans le schéma de droite ; en ouvrant la fenêtre des caractères spéciaux, le caractère choisi est affiché en gros dans la marge droite (avec son code universel dessous), et dans la grille, sa case est en relief.

 

N’oubliez pas de sauvegarder votre travail :


▼ ◄OK►.

 

Faites ensuite un essai en utilisant le style pour vérifier que les caractères choisis vous conviennent bien.

 

1.4 Construire une liste à puces avec le style de type Listes

Votre style de liste à puce est paramétré. Comment construire une liste avec ?

 

Commencez par choisir le style avant la frappe. [Maj+ F12] est un raccourci système qui sélectionne le style de numérotation Puce 1. Cette combinaison agit presque en bascule : pour annuler le style Liste, il faut utiliser [F12] (sans [Maj+]). Étant donné que nous sommes avec un style de type paragraphe, l’effet de cette commande est valable dans tout le paragraphe.

 

Le premier paragraphe que vous saisissez est posé en niveau 1.

 

Quand vous voulez amorcer un paragraphe d’un niveau inférieur, il suffit, en début de ce paragraphe, de taper [Tab]. Inversement, pour revenir au niveau supérieur, il suffit de taper [Maj+ Tab]. Notez bien que ces commandes de changement de niveau doivent être tapées en début de nouveau paragraphe.

 

Vous pouvez obtenir ces deux effets avec un menu contextuel :

n’importe où dans le paragraphe dont vous voulez changer le niveau ;
Abaisser d’un niveau ou Remonter d’un niveau (l’effet est immédiat).

 

Pour terminer une liste, et poursuivre votre texte avec un paragraphe normal, il vous suffit, en début d’un nouvel item, de taper [entrée] : votre item est annulé et vous êtes au début d’un nouveau paragraphe ordinaire.

1.5 Trois conseils :

  1. Sauf besoins très spécifiques, contentez-vous d’une seule liste à puces, et utilisez le style Puce 1 en le modifiant à votre goût ; il a l’avantage de répondre aux raccourci-clavier [Maj+ F12].
  2. Suggestion : le style de liste à puces que j’utilise est paramétré sur 6 niveaux : les niveaux impairs ont une puce noire, et le niveau pair suivant a une puce de même forme, mais blanche. Dans l’ordre : un rond, un carré, et une flèche à gauche.
  3. N’oubliez jamais, surtout pour les listes à puces, que vous présentez des listes. Une liste est normalement composées d’items d’une ligne, voire deux. Si vos items sont plus fournis, évitez alors les niveaux : vos lecteurs ne s’y retrouveront pas.

 

2. Les listes numérotées

2.1 Un peu de théorie

Les listes numérotées sont des listes à puces que la présence d’un numéro à la place de la puce, rend un peu plus compliquées.

 

Dans les listes numérotées, la problématique du calcul du numéro (indépendant de la forme sous laquelle ce numéro est présenté) nécessite des réponses spécifiques. Un numéro est égal, normalement, au précédent de même niveau plus un. Sauf quand un paragraphe hors liste s’intercale : faut-il alors continuer la séquence, malgré l’intrus non numéroté, ou reprendre la séquence à 1 ?

 

Par ailleurs, un numéro peut être présenté de plusieurs manières, avec quelque chose devant (‘§’ par exemple) ou derrière (un point après le dernier chiffre). Ce que nous avons appelé ‘le groupe de numérotation’ peut comprendre non seulement le numéro du niveau, mais une composition plus complexe intégrant les numéros des niveaux parents.

 

Voyons cela en détail.

 

2.2 Paramétrer un style pour des listes numérotées

Le paramétrage se fait d’une manière analogue à celui que nous avons vu pour les listes à puces. Je vais simplement présenter ici les particularités concernant les listes numérotées.

Je vous conseille d’utiliser un seul style de listes numérotées, le style Numérotation 1 que vous adapterez à vos goûts.

Nous utilisons la même fenêtre de gestion des styles de type Numérotation. Et dans cette fenêtre, les mêmes trois onglets nous intéressent : | Gérer |, | Position | et | Options |. Pour les deux premiers onglets, Gérer et Position, rien de particulier à signaler. Ce que nous avons vu pour les listes à puces reste valable pour les listes numérotées.

 

Pour les Options :

Il n’y a aucun intérêt à saisir quelque chose sur la ligne 1-10 qui serait valable pour tous les niveaux. Attaquez directement avec le niveau 1, puis quand la saisie sera terminée, passez au niveau 2, etc.


| Options | ;

Niveaux █ (vous paramétrez chaque niveau, en commençant par le niveau 1) ;
Numérotation █ ;
Nombre : {1, 2, 3… ; a, b, c… ; xxx } ;

Vous indiquez ici la forme que doit prendre le numéro du niveau : chiffres arabes, lettres minuscules, etc.

 


Style de caractère : {Aucun ; Caractère de numérotation ; xxx} ;
  • Aucun : le style de type Caractère appliqué au groupe de numérotation sera celui du paragraphe ; toute la ligne sera présentée dans le même style ;
  • Caractère de numérotation : ce pourrait être n’importe quel style de type Caractère disponible. Dans ce cas, le groupe de numérotation sera dans ce style. C’est intéressant quand on veut faire ressortir le groupe de numérotation.

 


Afficher les sous-niveaux : {1 ; 2 ; # } ;

Cette zone est accessible à partir du niveau 2. Vous indiquez ici quels niveaux vont composer le groupe de numérotation. Le cadre à droite des zones de saisie montre l’effet produit. Vous n’êtes pas obligé d’adopter la même attitude sur tous les niveaux. Bien que la valeur saisie permette de limiter le nombre de niveaux composant le groupe de numérotation, il paraît difficile de ne pas mettre tous les niveaux (4, au 4ème, par exemple).

 


Séparateur avant : … ;
Séparateur après : … ;

Séparateur est impropre. Il faut comprendre : ‘Texte posé’. Exemples pour ‘avant’ : ‘Chapitre’, ou ‘§’ ; exemple pour ‘après : ‘.’. N’oubliez pas de mettre aussi les espaces.

 


Commencer avec : 1 ;

Normalement, la numérotation d’un niveau commence à 1. Dans des situations un peu compliquées, avec des styles originaux, on pourrait indiquer ici vouloir commencer avec un autre numéro.

 

Quand vous aurez passé tous vos niveaux :

[  ] Tous les niveaux, numérotation continue ;

Cette numérotation continue proposée dans la dernière zone consiste à numéroter les lignes de la liste de 1 en 1, sans tenir compte des niveaux. Curieux, mais pourquoi pas ?

 

N’oubliez pas de sauvegarder votre travail :

▼ ◄OK►.

 

2.3 Construire une liste numérotée

Comme pour une liste à puces, vous allez commencer par choisir le style Numérotation 1 avec le raccourci [F12], puis vous tapez votre liste.

Vous passez d’un item à l’autre avec [Entrée].

Vous descendez d’un niveau en commençant ce niveau avec [Tab] ; et vous remontez d’un niveau avec [Maj+ Tab]. Si vous voulez faire descendre d’un niveau un paragraphe déjà tapé, il suffit d’insérer [Tab] au début de ce paragraphe, devant le premier caractère ou devant le groupe de numérotation ; pareillement, pour le faire remonter, vous insérez [Maj+ Tab]. Vous pouvez actionner ces fonctionnalités avec le menu contextuel comme pour les listes à puces.

 

2.4 Interrompre et reprendre une liste numérotée

Tant que votre liste se déroule en séquence, vos numéros sont calculés au fur et à mesure sans problème, y compris en changeant de niveau ou en modifiant les niveaux.

Il n’est pas possible de faire apparaître plusieurs paragraphes sous le même numéro. Il n’est pas possible non plus de faire apparaître un nouveau paragraphe sans numéro avec le même décalage que le paragraphe précédent numéroté (sauf à utiliser une variante du style paragraphe).

 

En revanche, il peut arriver qu’une liste soit interrompue par un ou plusieurs paragraphes qui peuvent être des commentaires ou des précisions du dernier item. Sachez qu’il est toujours possible de continuer la numérotation d’une liste interrompue après un ou plusieurs paragraphes non numérotés. Pour qu’un nouveau paragraphe reçoive le numéro du dernier paragraphe numéroté plus 1, il suffit, n’importe où dans ce paragraphe :

dans le paragraphe à numéroter ;
Continuer la numérotation précédente.

 

Si vous utilisez cette possibilité (‘Continuer la numérotation précédente’), le système mémorise votre choix. Et plus tard dans le texte, si vous revenez au même niveau en demandant la numérotation, vous serez surpris de voir que le premier numéro sera égal au dernier (dans une des pages précédentes) plus un. Pour avoir une numérotation qui démarre à 1 :

dans le paragraphe à numéroter ;
Reprendre la numérotation (sous-entendu à 1).

 

Vous pouvez aussi, après avoir tapé par exemple trois items d’une liste numérotée (1, 2 et 3), souhaiter que l’item 2 apparaisse plutôt en commentaire, sans numéro. Dans ce cas, il suffit de mettre le point d’insertion dans cet item, et avec [F12] de supprimer la numérotation : l’item 2 apparaît comme un paragraphe ordinaire, et l’item 3 prend le numéro 2.

 

Modifier l’ordre d’une liste

Il est assez fréquent, quand on relit une liste numérotée, de vouloir modifier l’ordre des items. Ici, pas question de saisir des numéros différents pour changer cet ordre. Le plus simple est de déplacer les lignes. Petite astuce que je pratique : pour sélectionner une ligne, je commence ma sélection à la fin de la ligne précédente et je l’étends jusqu’à la fin de la ligne à déplacer ; puis je procède par un glisser-déplacer que je pose à la fin de la ligne précédant la nouvelle. De ce fait, je n’ai pas de problème d’interligne ; ma nouvelle liste est propre dès le lâcher du clic. Quand je mets une ligne en position 1, il me faut réactiver la numérotation avec [F12] sur cette ligne. Tous mes items sont alors renumérotés. Le glisser déplacer peut comprendre aussi les niveaux inférieurs.

 

Prolongements

Les listes à puces et les listes numérotées peuvent être un excellent outil pour concevoir un plan quand certaines parties doivent être ordonnées (numérotées) et d’autres non. Les niveaux et les déplacements peuvent faciliter la construction d’un discours.

 

Conclusion

Les listes, à puces ou numérotées, sont des présentations incontournables dans nos documents modernes. Je me permets d’attirer votre attention sur la nécessité d’être sobre avec ces outils. C’est pour cette raison que je conseille de n’utiliser qu’un style de liste à puces et qu’un style de numérotation. Vos lecteurs apprécieront. Ce qui n’exclut pas une solution spécifique pour un problème tout aussi spécifique.

 

Dernier point : il arrive qu’on construise les pages d’un site Internet à partir du traitement de texte. Pourquoi pas ? Il faut savoir, sur ce sujet, que la correspondance entre le traitement de texte et la page HTML pour Internet, ne peut pas se faire par simple transposition pour ce qui concerne des puces différentes par niveaux. La logique de paramétrage est complètement différente dans les deux environnement. Et HTML possède ses propres standards.